S'inscrire
S'inscrire

Sujet : L’imagerie visuelle

L’imagerie visuelle est l’aspect de l’imagination le plus étudié et le plus discuté. Il est souvent utilisé comme point de référence pour illustrer les différences entre les personnes atteintes d’aphantasie, d’hyperphantasie et de tout ce qui se situe entre les deux. En savoir plus.

  • 14 Articles
  • 16 Discussions
  • 3 Videos
  • 48 Research
Stratégies
Les éléphants ! À la recherche de l’insaisissable pomme ? Ne cherchez pas plus loin : essayez cette illusion de pomme !
Comment expliquer l'expérience de la visualisation à quelqu'un qui ne l'a jamais vécue ? Entrez dans l'illusion de la pomme après coup.
Jennifer McDougall and Aphantasia Network
on octobre 30, 2023
Can Hypnosis Work on Those With Aphantasia
La science
L’hypnose peut-elle fonctionner sur les personnes atteintes d’aphantasie ? Oui !
Un hypnothérapeute atteint d'aphantasie explique l'hypnose et la manière dont elle peut fonctionner pour les personnes atteintes d'aphantasie.
Paulina Trevena
on octobre 15, 2023
imagery and mental healthcare
La science
Revisualiser le rôle de l’imagerie dans les soins de santé mentale
La visualisation est souvent utilisée dans les domaines du bien-être mental et de la thérapie, mais qu'est-ce que cela signifie pour les personnes atteintes d'aphantasie ?
Reshanne Reeder and Bridget Mawtus
on mai 23, 2023
La science
Impact de l’aphantasie sur l’expérience de la lecture
L'aphantasie a-t-elle un impact sur l'expérience de la lecture ? Exploration de la relation entre les préférences de lecture et l'imagerie mentale.
Rosina Williams
on avril 6, 2023
Stratégies
Visualiser l’invisible
Quelles sont les expériences typiques des visualisateurs ? Quelle est la vivacité de l'expérience hyperphantasique ? La designer Melanie Scheer présente une nouvelle façon de visualiser le spectre de l'imagination visuelle.
Melanie Scheer
on juin 15, 2022
La science
Pseudo-hallucinations et aphantasie
Le Ganzflicker est connu pour provoquer des pseudo-hallucinations... Mais comment se fait-il que certaines personnes aient des hallucinations complexes telles que des "vieux châteaux de pierre" ?
Reshanne Reeder
on juin 23, 2021
La science
L’aphantasie expliquée : Certaines personnes ne peuvent pas se faire d’images mentales
Comment dessiner de mémoire si l'on ne peut pas former d'images mentales ? Il est évident qu'il n'est pas nécessaire de "voir" avec l'œil de l'esprit pour effectuer ces tâches.
Dr Zoë Pounder
on juin 10, 2021
La science
Mise à jour de Extreme Imagination
L'aphantasie implique-t-elle une absence d'imagination ? Le Dr Adam Zeman répond à trois questions fréquemment posées dans les discussions sur l'imagination extrême.
on mai 24, 2021
La science
Des idées choquantes : Ce que la stimulation électrique nous apprend sur notre façon de visualiser
Pourquoi l'œil de votre esprit est-il aveugle alors que celui de votre ami est capable de se représenter des images d'une clarté cristalline ? Un aperçu choquant des différences neurologiques connues dans la vivacité de l'imagerie.
Mike Perrotta
on février 10, 2021
La science
Voir avec l’œil de l’esprit
Tout le monde ne voit pas son passé ou son avenir de la même manière. Ces différences invisibles peuvent s'appliquer à presque tous les aspects de la pensée.
Peter Moleman
on novembre 23, 2020
Eamon Ali
septembre 25, 2023
Études de recherche en ligne – recherche de participants
Bonjour à tous, Je fais partie d’une équipe du King’s College de Londres qui mène un projet de recherche en ligne sur la façon dont les personn...
Emmanuel Ale
juillet 5, 2023
Participants à la recherche recherchés
Je suis étudiante en master de psychologie à l’université Edge Hill, Ormskirk, Royaume-Uni. Je vous invite à participer à mon enquête de thèse dont l...
Patricia Williams
janvier 11, 2023
Image de l’esprit
Je considère que je suis atteinte d’aphantasie, mais ma version n’est pas mentionnée dans le questionnaire. Parfois, je ne peux rien visualiser, ...
Kirill Yunussov
juillet 21, 2022
Avez-vous réussi à utiliser la méthode Lindamood-Bell ?
Il s’agit d’une approche visant à développer l’imagerie visuelle chez les personnes qui ne l’ont pas ou qui l’ont peu développé...
Nyila F
mai 12, 2022
Je peux “imaginer” les choses mais pas les “voir” ?
Bonjour, j’ai 25 ans et je viens de me rendre compte que je suis atteinte d’aphantasie. Du moins, je pense que c’est le cas. Lorsque je fer...
Lerimeedvy
janvier 2, 2022
Hypersensible au bruit, aux phares des voitures, etc.
Bonjour. Je souffre d’aphantasie et mes autres sens sont également affectés, par exemple je ne peux pas imaginer les goûts, les odeurs, la musique, etc...
L Bacchus
septembre 2, 2021
Hallucinations fébriles
Je n’ai aucune image lorsque je ferme les yeux, tout est noir, mais j’ai récemment eu une infection dentaire qui s’est transformée en septi...
Bjarne Vandeskog
juillet 24, 2021
Comment dois-je répondre au test ?
Bonjour. J’essaie de faire le test pour savoir si je suis atteinte d’ahpantasie, mais je ne comprends pas les instructions. La première question ...
swrong
juillet 8, 2021
Aphantasie, mais j’ai une scène en tête
Je ne crois pas avoir jamais vu, dans mon esprit, un tableau gris là-dedans. Mais quand j’avais 2 ou 3 ans, je disais à ma mère que je voulais retourne...
Sophia Liu
juillet 6, 2021
Aphantasie uniquement avec les personnes émotionnellement proches de moi
En général, je suis en hyperphantasie. Je me fie beaucoup à ma mémoire visuelle. Dès mon plus jeune âge, je peux réciter des poèmes comme si je les lisais da...
Que se passe-t-il dans le cerveau des personnes atteintes d’aphantasie lorsqu’elles imaginent ? [Member Exclusive]
Une image vaut mille mots, mais que se passe-t-il lorsque notre cerveau aphantasique n'arrive pas à visualiser cette image ? Jianghao Liu, chercheur sur le cerveau à l'Institut du cerveau de Paris, se joint à Aphantasia Network pour répondre à ces questions.
octobre 25, 2023
Questions et réponses avec Mac Shine [Member Exclusive]
Regardez cette longue interview de Mac Shine qui répond aux questions de la communauté sur "Ce que c'est que d'être un neuroscientifique atteint d'aphantasie" lors de cette session de questions-réponses en direct. Animé par Tom Ebeyer.
août 30, 2023
Qu’est-ce que cela signifie d’être un neuroscientifique atteint d’aphantasie ?
Le neuroscientifique Mac Shine se penche sur l'aphantasie - un état dont il fait personnellement l'expérience - pour remettre en question les points de vue conventionnels sur la perception, explorer les neurosciences de l'imagination et établir des parallèles inattendus entre les fonctions cognitives des aphantasiques et les grands modèles de langage tels que ChatGPT-4.
août 30, 2023
L’imagerie mentale et les modèles attentionnels visuels : une dissociation
Cette étude porte sur l'interaction entre les images mentales et les modèles attentionnels, qui sont des outils de mémoire de travail visuelle utilisés pour concentrer l'attention sur des objets présentant certaines caractéristiques. De manière surprenante, les chercheurs ont constaté que la capacité à focaliser l'attention sur des indices de couleur, une forme de modèle attentionnel, était la même chez tous les participants, quelle que soit leur capacité à visualiser mentalement des images. Cela inclut les personnes atteintes d'aphantasie, qui ne peuvent pas créer d'images mentales volontairement. Notamment, l'efficacité de l'utilisation de ces modèles attentionnels était similaire chez les aphantasiques et les non-aphantasiques, malgré les différences dans leurs stratégies de recherche et dans la vitesse et la précision globales. Ce résultat suggère que le mécanisme cérébral d'utilisation des caractéristiques visuelles pour guider l'attention fonctionne indépendamment de l'expérience subjective de l'imagerie visuelle.
Le rôle de la dopamine dans l’imagerie visuelle – étude pharmacologique expérimentale
L'imagerie mentale permet aux individus de simuler des expériences dans leur esprit sans stimulus externe. Bien que les mécanismes biochimiques à l'origine de ce phénomène ne soient pas bien compris, certains éléments suggèrent que la dopamine pourrait être impliquée. La compréhension de ce phénomène au niveau biochimique pourrait permettre de mieux comprendre l'imagerie mentale et les affections connexes telles que l'aphantasie (incapacité à former volontairement des images mentales) et pourrait déboucher sur des interventions potentielles. Dans une étude, 22 participants masculins recevront un mélange d'acides aminés à chaîne ramifiée (BCAA) et de tryptophane (TRP) pour réduire temporairement la synthèse de la dopamine, tandis que 22 autres recevront un placebo. Les taux de prolactine plasmatique (PRL) seront utilisés comme indicateur de la fonction dopaminergique du cerveau. La force de l'imagerie mentale sera évaluée avant et après la prise du mélange BCAA/TRP en utilisant l'amorçage de l'imagerie mentale. En outre, les données génétiques seront étudiées pour déterminer si les variations des loci des gènes dopaminergiques, comme le DAT1, affectent les niveaux de dopamine et la force de l'imagerie mentale.
Sonder l’inimaginable : L’impact de l’aphantasie sur des domaines distincts de l’imagerie mentale visuelle et de la perception visuelle
Dans cette étude, 117 participants présentant différents niveaux d'imagerie mentale visuelle ont été évalués. 44 participants ont déclaré avoir une imagerie visuelle absente ou quasi absente, connue sous le nom d'"aphantasie". Ces participants ont été comparés à ceux dont la capacité d'imagerie était normale (N = 42) ou anormalement vive (N = 31). L'étude a utilisé une version en ligne de la Battérie Imagination-Perception (eBIP), qui consiste en des tâches mesurant la précision et le temps de réponse dans cinq domaines de l'imagerie et de la perception visuelles, tels que la forme des objets, la couleur, les mots écrits, les visages et les relations spatiales. Les résultats ont montré que les participants aphantasiques avaient une précision similaire à celle des autres groupes, mais que leur temps de réponse était plus lent dans les tâches d'imagerie et de perception, et qu'ils avaient moins confiance en leurs réponses dans les tâches de perception. Les résultats suggèrent que les personnes atteintes d'aphantasie traitent plus lentement les informations visuelles, mais que la précision n'est pas affectée. Le modèle de performance observé soutient les hypothèses selon lesquelles l'aphantasie congénitale est principalement un déficit de la conscience phénoménale, ou qu'elle utilise des stratégies alternatives autres que la visualisation pour accéder à l'information visuelle préservée.
L’aphantasie : une approche philosophique
L'aphantasie a attiré l'attention des médias au cours des dernières années, mais elle reste sous-discutée dans la philosophie de l'esprit. Cet article évalue les explications potentielles de l'aphantasie basées sur la recherche en sciences cognitives. Quatre hypothèses sont envisagées : (i) une divergence conceptuelle, (ii) une défaillance des mécanismes d'attention affectant l'introspection, (iii) un manque d'accès conscient aux représentations imaginaires sous-jacentes, et (iv) une absence totale de ces représentations sous-jacentes. L'étude conclut que les deux premières hypothèses peuvent être rejetées, tandis que les deux dernières sont des explications plausibles. Parmi elles, la quatrième hypothèse est celle qui correspond le mieux aux données existantes. Le document suggère également des domaines de recherche future pour approfondir notre compréhension de l'aphantasie.
L’imagerie chez une paire de jumeaux identiques aphantasiques et non aphantasiques : Similitudes et différences neuronales
Pour approfondir l'activité cérébrale associée à l'aphantasie, les chercheurs ont utilisé l'IRMf pour étudier des jumeaux identiques, dont l'un avait une imagerie visuelle normale et l'autre une aphantasie. Les deux jumeaux ont été soumis à des tâches d'imagerie visuelle et à des scanners de l'état de repos. Les résultats ont révélé que si les deux jumeaux présentaient des changements d'activité cérébrale similaires pendant le rappel visuel, leurs représentations de la mémoire différaient. Notamment, même le jumeau atteint d'aphantasie a récupéré certaines informations visuelles lors de tâches d'imagerie, ce qui indique que malgré leur incapacité à visualiser, certaines informations visuelles sont encore traitées dans le cerveau. Cette étude montre que si les expériences d'imagerie diffèrent entre les aphantasiques et les imageurs typiques, les uns et les autres conservent un certain niveau d'informations visuelles lors du rappel.
Les performances comportementales et les propriétés structurelles corticales de l’aphantasie
Cette étude a exploré les capacités des personnes atteintes d'aphantasie à imaginer des images statiques et en mouvement et la manière dont elles gèrent les tâches de mémoire visuelle. Bien qu'ils ne puissent pas imaginer des images statiques, ils ont ressenti des effets de mouvement similaires à ceux des personnes ne souffrant pas de cette maladie. Lors des tests de mémoire, les aphantasiques ont obtenu des résultats similaires à ceux des témoins, mais se sont davantage appuyés sur des stratégies sémantiques (basées sur le sens), qui n'ont pas été affectées par les changements de lumière externe, contrairement aux témoins. En outre, les examens IRM ont révélé que les personnes atteintes d'aphantasie avaient des régions cérébrales plus petites liées aux fonctions exécutives et à l'attention. Cette recherche offre de nouvelles perspectives sur les comportements et les structures cérébrales des personnes atteintes d'aphantasie.
Représentations non perceptives fiables et prédictives dans le cortex visuel primaire lors de tentatives d’imagerie visuelle dans l’aphantasie
Dans cette étude utilisant l'IRMf, les chercheurs ont examiné comment le cerveau des personnes atteintes d'aphantasie réagit lorsqu'elles essaient d'imaginer des stimuli visuels. On a demandé à des personnes aphantasiques et à des témoins d'imaginer des motifs visuels spécifiques. L'étude a montré que si les deux groupes présentaient une activité cérébrale dans les premières aires visuelles au cours de cette tâche, les schémas des personnes atteintes d'aphantasie ne correspondaient pas aux schémas observés lorsqu'elles regardaient les stimuli. En termes plus simples, bien que les personnes atteintes d'aphantasie aient une activité cérébrale lorsqu'elles essaient de visualiser, la représentation de cette imagerie par leur cerveau est différente de celle qu'elles ont lorsqu'elles voient les choses dans la réalité.
L’imagerie sans image dans l’aphantasie : décoder l’imagerie non sensorielle dans l’aphantasie
La recherche porte sur le fonctionnement du cortex visuel précoce, une partie du cerveau associée aux expériences visuelles, y compris la capacité de visualiser des images dans notre esprit. Un groupe unique d'individus, connu sous le nom d'"aphantasie", ne peut pas du tout former d'images mentales. L'étude visait à comprendre ce qui se passe dans le cerveau de ces personnes lorsqu'elles tentent de visualiser. À l'aide de techniques d'imagerie cérébrale avancées, les chercheurs ont observé l'activité du cortex visuel primaire lors de tentatives d'imagerie mentale. Chez les personnes ne souffrant pas d'aphantasie, cette partie du cerveau présentait des schémas correspondant à leurs expériences visuelles. Cependant, pour les personnes atteintes d'aphantasie, l'activité cérébrale était différente et ne pouvait pas correspondre aux perceptions visuelles typiques. En outre, lorsque ces personnes sont exposées à des stimuli visuels, leurs réponses cérébrales sont plus faibles que celles des personnes non atteintes d'aphantasie. En substance, l'étude a montré que même si les personnes atteintes d'aphantasie ne peuvent pas visualiser, il existe toujours une certaine forme de représentation dans leur cortex visuel. Toutefois, cette représentation peut être moins détaillée ou différente des informations sensorielles habituelles. Cette découverte remet en question la croyance traditionnelle selon laquelle l'activité du cortex visuel primaire correspond toujours à des expériences visuelles typiques.
Mesure de la force de l’imagerie dans la schizophrénie : pas de preuve d’un renforcement de l’amorçage de l’imagerie mentale
Cette étude visait à explorer la relation entre l'imagerie visuelle, la schizophrénie et la survenue d'hallucinations. Les chercheurs ont comparé un groupe de 16 personnes atteintes de schizophrénie à un groupe de 44 personnes non atteintes. Ils ont utilisé des questionnaires et une tâche d'imagerie visuelle pour mesurer la vivacité de l'imagerie visuelle, et l'échelle d'hallucination de Launay-Slade pour évaluer l'occurrence des hallucinations. Cependant, il est surprenant de constater qu'il n'y a pas de différences significatives entre les deux groupes en ce qui concerne la vivacité de l'imagerie visuelle, mesurée à la fois par le questionnaire et par la tâche d'imagerie visuelle. Il est intéressant de noter qu'une corrélation positive a été trouvée entre la vivacité de l'imagerie visuelle mesurée par le questionnaire et la tâche d'imagerie visuelle. Cela indique que les outils de mesure utilisés étaient fiables pour évaluer l'imagerie visuelle. Ces résultats suggèrent que l'association entre la vivacité de l'imagerie mentale et la schizophrénie pourrait être plus complexe qu'on ne le pensait. Si les personnes atteintes de schizophrénie ont davantage d'hallucinations, la vivacité de leur imagerie visuelle ne semble pas être améliorée. Cela suggère que d'autres aspects de l'imagerie mentale pourraient être plus pertinents pour comprendre la relation entre l'imagerie mentale et la schizophrénie.
Pas d’augmentation de la prévalence de la prosopagnosie en cas d’aphantasie : Les déficits de reconnaissance visuelle sont faibles et ne se limitent pas aux visages.
L'aphantasie et la prosopagnosie sont des maladies rares qui affectent la cognition visuelle. La prosopagnosie se traduit par une difficulté à reconnaître les visages, tandis que les aphantasiques n'ont pas d'images mentales. Des théories antérieures suggèrent un lien entre l'aphantasie et la prosopagnosie, mais des recherches récentes montrent que les aphantasiques présentent des troubles de la reconnaissance visuelle en général, et pas seulement de la reconnaissance des visages. Dans une étude comparant des aphantasiques et des témoins, les deux groupes ont obtenu de moins bons résultats dans des tâches de reconnaissance de visages et d'objets, ce qui indique de légers déficits de reconnaissance. L'étude a également mis en évidence une corrélation entre la vivacité de l'imagerie et les performances, ce qui suggère que l'imagerie visuelle influence les capacités de reconnaissance. La complexité des stimuli a eu un effet modérateur, mais uniquement pour l'ensemble du spectre d'imagerie et pour les stimuli de visage. Ces résultats suggèrent que l'aphantasie est associée à un déficit général, bien que léger, de la reconnaissance visuelle.