Sujet : Mesures objectives

L’aphantasie peut être identifiée par des mesures objectives, y compris des identifiants physiologiques, comportementaux et neurologiques. Ces ressources informatives permettent d’en savoir plus sur ces mesures et sur la manière dont les scientifiques identifient l’aphantasie.

Pourquoi l'œil de votre esprit est-il aveugle alors que celui de votre ami est capable de se représenter des images d'une clarté cristalline ? Un aperçu choquant des différences neurologiques connues dans la vivacité de l'imagerie.
La rivalité binoculaire et l'amorçage perceptif ne sont que l'une des nombreuses mesures objectives possibles pour évaluer la force de l'imagerie mentale et identifier l'aphantasie.
janvier 14, 2022
Puisqu’il est bien établi que l’aphantasie est généralement héréditaire, quelqu’un a-t-il commencé à rechercher d’éventuels liens ave...
Il me semble que la variété étonnante/merveilleuse des processus cognitifs dont nous semblons faire l’expérience est d’une grande valeur. Si un g...
Une image vaut mille mots, mais que se passe-t-il lorsque notre cerveau aphantasique n'arrive pas à visualiser cette image ? Jianghao Liu, chercheur sur le cerveau à l'Institut du cerveau de Paris, se joint à Aphantasia Network pour répondre à ces questions.
octobre 25, 2023
L’imagerie sans image dans l’aphantasie : décoder l’imagerie non sensorielle dans l’aphantasie
La recherche porte sur le fonctionnement du cortex visuel précoce, une partie du cerveau associée aux expériences visuelles, y compris la capacité de visualiser des images dans notre esprit. Un groupe unique d'individus, connu sous le nom d'"aphantasie", ne peut pas du tout former d'images mentales. L'étude visait à comprendre ce qui se passe dans le cerveau de ces personnes lorsqu'elles tentent de visualiser. À l'aide de techniques d'imagerie cérébrale avancées, les chercheurs ont observé l'activité du cortex visuel primaire lors de tentatives d'imagerie mentale. Chez les personnes ne souffrant pas d'aphantasie, cette partie du cerveau présentait des schémas correspondant à leurs expériences visuelles. Cependant, pour les personnes atteintes d'aphantasie, l'activité cérébrale était différente et ne pouvait pas correspondre aux perceptions visuelles typiques. En outre, lorsque ces personnes sont exposées à des stimuli visuels, leurs réponses cérébrales sont plus faibles que celles des personnes non atteintes d'aphantasie. En substance, l'étude a montré que même si les personnes atteintes d'aphantasie ne peuvent pas visualiser, il existe toujours une certaine forme de représentation dans leur cortex visuel. Toutefois, cette représentation peut être moins détaillée ou différente des informations sensorielles habituelles. Cette découverte remet en question la croyance traditionnelle selon laquelle l'activité du cortex visuel primaire correspond toujours à des expériences visuelles typiques.